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 Je leur avais dit que je reviendrai

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Mrs LeBeau
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Mrs LeBeau


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MessageSujet: Je leur avais dit que je reviendrai   Je leur avais dit que je reviendrai Icon_minitimeVen 3 Nov - 17:06

salut

A l'heure où Bamphplace dort et où Mrs LeBeau càd moi-même fait le deuil de ses défuntes converses noires, je me targue d'un tout autre problème. (vérification dans le dico... "targuer" n'a pas du tout le sens que je croyais, bon tant pis, j'ai pas d'autre mot).

Quand j'étais en Seconde, à savoir il y a quoi... 3 ans, j'ai écrit une nouvelle pour un concours (poussée par ma mère, enfin, surtout pour qu'elle arrête de me souler avec ce stupide concours à la noix). Bref je suis arrivée dans les 1er de ma catégorie (à savoir catégorie illétrés mdr non bien sur je déconne) et j'ai reçu une bouteille de Chablis (j'avais envie de leur demandé "Dites, z'avez une bouteille de Despé à la place, non ?", en effet je ne suis pas trop vin rouge pukel )

Bref, un peu plus tard, mon père me dit "hey Sofy tu devrais l'adapter en film ton histoire, on pourrait filmer ça tous les deux". Etant consciente du boulot que cela représenterait, j'ai immédiatement dit "ouh là non, trop compliqué !" (héhé ma légendaire féniantise Razz )

Encore plus tard, mon année de Terminale arrive, putain de 2.8 de moyenne en maths, putain je rame ! C'est là que je me dis : Hé mais attends ! Tu fais option ciné ma ptite poule ! (oui j'aime me donner des noms d'oiseaux, quoique la poule ne soit pas un oiseau) J'ai donc entrepris d'adapter ma nouvelle, de l'écrire, de trouver des acteurs, des lieux, des décors, une équipe technique, du matos, et bien, bien d'autres choses encore dans le seul et unique but d'avoir des points en plus pour mon bac (coef 2 c'est déjà pas mal)

Bon, sur 8 acteurs, j'en ai 3 de sûrs. J'ai 2 "peut-être", il m'en manque donc 3. (il y a des fois où je me demande vraiment pourquoi j'ai pas la moyenne en maths)
J'ai pas encore fini d'écrire le scénario, je parle même pas du story board.



Et faut que j'ai tourné 3 scènes de mon film dans la période de Noël... pale



J'ai froid





Et pour ceux qui me demanderont de quoi traite mon film, je vous donne ma nouvelle, sachant que le film sera tout de même quelque peu différent.
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Mrs LeBeau
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MessageSujet: Re: Je leur avais dit que je reviendrai   Je leur avais dit que je reviendrai Icon_minitimeVen 3 Nov - 17:10

Citation :
Je leur avais dit que je reviendrais. J’avais d’abord embrassé ma Yasmina, triste de me voir une fois de plus partir sans vraiment savoir quand elle allait me revoir. J’avais ensuite embrassé le petit Mathéo, en lui promettant que dès que je rentrerais, j’allais pouvoir lui payer ce robot télécommandé devant lequel il bavait tellement à la télé, grâce à l’argent que j’allais ramasser dans cette affaire. Je lui avais dit que c’était lui l’homme à présent. Enfin, jusqu’à mon retour seulement. Il ne fallait pas non plus qu’il se prenne tout à coup pour Superman, déjà que la passion qu’il avait à l’égard de Spiderman me semblait suspecte… Quand je m’étais avancé vers mes deux filles, Rachida et Farida, elles étaient en train de pleurer. Yasmina les avait prises dans ses bras et m’avait lancé un regard plein de rancœur et d’inquiétude à la fois. Elle avait peur pour moi. Ils avaient tous peur pour moi. A chaque fois, à chaque deal. Ils savaient tous pourtant que je n’avais pas d’autre choix pour les faire vivre. Ils savaient combien j’aurais aimé être un père exemplaire, comme ces types pleins aux as qu’on voit à la télé, et qui tout sourire rentrent chez eux au milieu de l’après-midi dans leur grande maison, blanche, panier de basket devant le garage, le chien qui n’aboie jamais, les voisins qui ne font jamais de bruit… On n’avait pas la télé, chez nous. Mais chez le meilleur pote de Mathéo, ils l’avaient. C’est lui qui me racontait toutes ces conneries américaines, en me demandant pourquoi nous on n’avait ni chien ni panier de basket. Ni tout le reste. Parce que lui, il y croyait à fond à ces trucs là. Moi aussi au fond, c’est pourquoi je faisais tout ça. Pour leur offrir une belle maison blanche un peu moins pourrie que cette saleté de HLM en béton.
Pour ce deal, j’étais sûr de mon coup. J’avais trouvé un refourgueur qui voulait ma daube à un bon prix. Très bon prix. J’avais rendez-vous avec lui un peu à l’extérieur de la banlieue, là où on marche dans un peu moins de merde. J’avais jamais dealé dans cet endroit, mais j’étais sûr que ça se passerait bien. L’affaire de quelques minutes. J’attends contre un mur que le gars se pointe, après ça, tout se passe très vite : il entrouvre rapidement la mallette qui contient l’argent, et je lui donne la drogue en échange du pognon. J’avais toujours fait comme ça, j’avais jamais eu de problèmes. Ici, c’était comme ça qu’on faisait, y avait pas besoin de gardes du corps armés jusqu’aux dents ni de caïds de la mafia prêts à te faire sauter la cervelle dès le moindre faux pas. Encore des conneries de Mathéo.
J’étais allé en ville quelques jours auparavant, pour repérer deux trois trucs que je pourrais leur offrir à chacun quand l’affaire serait bouclée. J’y étais allé en métro. J’adorais le métro. Ça pue, y a toujours beaucoup de monde, du crachas par terre, de la pisse sur les murs. J’étais pas dépaysé. J’aimais beaucoup me balader en ville, même si dans la rue les gens me regardaient de travers. Au fond, c’est peut-être moi qui les regardais tous de travers. Sais pas. Je m’en foutais, tout ce qui m’intéressait, c’était les vitrines, surtout quand venait Noël, toujours illuminées, de superbes choses scintillantes de toutes les couleurs qui t’appellent et t’incitent à acheter. C’est en m’arrêtant devant l’une d’entre elle que j’aperçus le robot dont Mathéo me faisait la description tous les soirs depuis qu’il en avait vu la pub chez son pote. Il paraissait que ce machin pouvait se démonter et se remonter en une chose totalement différente. Et il avait plutôt intérêt, vu le prix qu’il coûtait !
Pendant que j’admirais comme un gamin le robot qui surplombait tous les autres jouets, je m’aperçus qu’un homme se tenait à mes côtés. Je lui lançai un regard, il me répondit par un sourire. Et ce sourire, il restera à jamais gravé dans ma mémoire. Parce qu’un sourire aussi sincère que celui-là, je sais pas si c’était à cause de Noël ou quoi, mais jamais aucun inconnu ne m’en avait fait de pareil. Normal, quand on a la peau bronzée et un accent de racaille, personne n’a envie de vous sourire. Et ce mec me dit qu’il hésitait à acheter le robot de mon Mathéo pour son fils de six ans, mais qu’il ne savait pas si c’était une bonne idée. Moi, je pensais plutôt qu’il disait ça pour faire la conversation, parce que je connaissais pas un seul petit garçon qui n’aurait pas été content d’avoir ce robot. Quand je lui dis que je pensais l’acheter pour mon propre fils de six ans, il se mit à rire. Puis il plaisanta, en disant que son fils imaginait son futur métier comme robot ou je sais pas trop quoi. Il rit et ajouta « Du moment qu’il ne m’annonce pas qu’il veut devenir flic comme son vieux père ! ». Il m’invita même à boire un pot pour discuter un peu de ce fameux robot et de l’engouement qu’il pouvait susciter chez tous les enfants. Mais je devais rentrer aux blocs pour retrouver un de mes fournisseurs. Je ne lui avais pas dit comme ça bien sûr. Le soir, la première chose que je fis, fut de demander à Rachida son dictionnaire pour chercher le mot ‘‘engouement’’. Ma propre fille me rit au nez et me dit que si j’avais été à l’école au lieu de traîner avec les dealers dans mon enfance, j’aurais pas eu besoin du dico…

Je leur avais dit que je reviendrais. J’avais d’abord embrassé ma femme Mireille, puis j’avais pris mes deux filles, Mathilde et Sarah dans mes bras. Elle avaient des larmes plein les yeux car elles s‘inquiétaient pour moi. Mon fils Maxime, lui, me considérait un peu comme ‘‘Guam Le Robot’’, celui qui, ‘‘Rapide comme l’éclair se métamorphose en un animal féroce et d’une force inégalable’’. C’était le seul à être sûr que j’allais revenir. Mireille me regardait d’un air accusateur, elle n’acceptait pas que je parte pour une mission si dangereuse à quelques mois de la retraite.
Mais je ne voyais pas ça comme ça. Cette intervention allait se faire un peu en retrait des quartiers chauds. J’y planchais déjà depuis quelques temps, essayant de trouver un dealer qui me refourguerait assez de drogue pour l’envoyer au trou en mode perpète. Ce n’était pas ça qui manquait, mais il me fallait quelqu’un qui travaillait seul, pour son propre compte, c’était moins risqué. Mais dans toute l’opération, je ne jouais que le rôle d’éclaireur, car si je trouvais un dealer, c’était sûrement des centaines qui se cachaient dans ces quartiers. Les autres feraient le ménage dès que j’aurais bouclé ma proie. Une grosse descente, une opération délicate et musclée, rien à voir avec la mienne. C’était un peu comme si je traversais une rivière remplie de crocodiles en faisant un bon de dix mètres alors que les autres auraient à la traverser à la nage.
« Mais d’où te vient cette envie de sauver le monde ? » m’avait un jour demandé Mireille. Je n’ai pas su quoi répondre sur le coup. Mais j’y avais tellement réfléchi depuis, que j’aurais su exactement quoi lui répondre si elle m’avait reposé la question. Je ne cherchais pas à sauver le monde, j’en étais complètement incapable. Je voulais simplement que l’une des pires espèces de vermine s’éteigne au mieux, se retrouve en voie d’extinction au moins. Les dealers détruisent la jeunesse de notre monde, ils détruisent notre avenir, en se faisant un max de blé. Je ne trouvais pas ça normal. Mon père avait été policier lui aussi, et déjà à son époque il luttait contre les substances illicites. Il était mort tué par une de ces saletés de dealers. Ce n’était pas seulement lui que je cherchais à venger, mais aussi toutes ces familles qui avaient vu leur enfant chéri, leur fils ou leur fille, dans un état lamentable ou même mourir sous le coup de l’héroïne, ou toute autre de ces merdes. Et surtout, j’aurais voulu nettoyer le monde de cette vermine pour que jamais mes enfants ne connaissent les effets de la poudre blanche.
Avec toute cette affaire, j’oubliais presque que Noël se rapprochait de plus en plus. Je décidai donc un matin d’aller me promener pour profiter des décorations de la ville. Histoire de voir avec quelles horreurs la municipalité avait encore voulu gaspiller notre argent. Je ne fus pas déçu, pour une fois, par les innombrables pères Noël, guirlandes électriques, et ridicules nœuds papillons qui ornaient chaque maison et chaque poteau. Tout ça me mit de bonne humeur, et je fredonnais joyeusement un de ces airs pleins de gaieté qui passaient sans arrêt dans les boulevards. Et alors que j’entamais le refrain de « We Wish You A Merry Christmas », je tombai nez à nez avec Guam Le Robot, majestueux dans sa vitrine toute scintillante. A côté de moi, un homme était le nez collé à la vitre, regardant, émerveillé, l’objet surplombant tous les autres ridicules petits trains ou voitures électriques. Cet homme renvoyait une sorte d’aura, il me semblait que je le connaissais bien, et pourtant jamais je ne vis nulle part son visage auparavant. Après qu’il m’ait regardé, je lui souris et entamai la conversation en lui exposant mon désir d’acquérir le robot pour mon fils de six ans. Et quand il me dit qu’il prévoyait de faire la même chose, je ris aux éclats et lui proposai d’aller boire un verre. L’étranger refusa, et repartit à travers la foule. Je fis de même, mais étrangement, je repensai à cette rencontre tout l’après-midi. Mais j’avais finalement acheté le robot. Maxime allait être vraiment très content.

J’étais pressé de me débarrasser de cette affaire. J’avais pris mon scooter, et en passant devant une voiture qui devait avoir flambé durant la nuit, à cause de types que je connaissais sûrement d’ailleurs, je me disais que je ferais tout pour sortir ma petite famille de cet enfer. Cette caisse, j’étais sûr qu’elle était nouvelle. Moi, mon scooter, je devais me taper les cinq étages avec lui sur le dos pour l’enfermer dans l’entrée de notre trois pièces pour qu’il soit pas brûlé. Les jeunes de la cité, ils n’avaient aucun respect. Ils auraient pu faire cramer le F2 de leur daronne si ça avait promis d’être trippant.
Quand j’arrivai à l’extérieur des blocs, je garai mon scooter près de la gare routière que le type à qui je dois vendre la drogue m’avait indiqué. Je mis pied à terre, et j’attendis, adossé contre le mur tagué de toute part. Des figures, déformées par la rage et la douleur, me regardaient, parfois avec un joint dans le coin de la bouche, montrant leurs dents jaunes et cariées, me pointant du doigt. Plein de visages. Un truc flippant. Fallait vraiment que l’autre se dépêche.

Depuis le matin même, mon taux de stress avait atteint son maximum. Mais il ne fallait pas que je le montre. Il fallait que Maxime continue de croire que j’étais comme « Guam Le Robot ». Quand j’avais prit ma voiture, une vieille Renault grise que j’avais louée pour l’occasion, j’étais vraiment très nerveux. Je ne comprenais pas, ce n’était pas la première fois que je partais en mission délicate, pas la première fois que j’aurais à jouer un rôle. Mais là bizarrement mes mains tremblaient et n’importe quel bruit me faisait sursauter. J’arrivai à notre point de rendez-vous avec un très mauvais pressentiment. Le dealer m’attendait, adossé contre un mur rempli de graffitis. J’avais choisi un coin un peu à l’écart de la cité, là où on pourrait être plus tranquilles, mais surtout là où tout le monde ne me tomberait pas dessus dès le premier faux pas. Je descendis de ma voiture et m’approchai du dealer, sentant le contact de mon revolver contre ma hanche. Ne jamais leur faire confiance, même dans la peau de ce type qui va leur acheter de la drogue, toujours prendre ses précautions… Quand je me retrouvai face à l’homme, ma mallette à la main, j’eus comme une impression de déjà vu. Il me regarda les yeux grands ouverts pendant peut-être deux secondes, puis il mit rapidement sa main dans sa veste. Dès lors je sus que j’avais raté ma mission.

La première chose qui m’avait frappé quand le type s’était amené, c’était sa caisse : toute pourrie, un très vieux modèle de Renault qu’on ne voyait que dans les films des années soixante. Enfin, je pense, parce que je n’avais jamais vu de films des années soixante. Enfin bref, une voiture tellement inhabituelle qu’elle en était limite louche. Mais bon, je me dis que finalement peut-être qu’il avait été en voler une à la fourrière pour ne pas qu’on le reconnaisse. Ça aurait pu être possible. Et puis, quand le type en descendit, je fus vraiment très étonné de voir à quel point ce mec était vieux. Je ne l’avais eu qu’au téléphone, je ne m’étais pas douté un instant qu’il pouvait approcher à ce point de la soixantaine. Mais le véritable déclic se produit quand il arriva à ma hauteur. J’avais déjà vu ce type. Il n’y avait pas longtemps. Je l’avais rencontré devant une vitrine du centre-ville, c’était le mec qui m’avait parlé de son fils de six ans. Celui qui voulait devenir robot plus tard. Mais pas flic, comme son père… J’étais tombé dans un piège !

Ce qui peut différencier deux flics de mêmes palmarès, ce sont les réflexes. On ne voit pas de bons flics sans bons réflexes. C’est pourquoi quand je vis que le dealer allait dégainer, je sortis moi-même mon revolver. Double coup de feu. Je ne l’avais pas manqué, j’en étais sûr. Mais lui non plus.

J’avais toujours un flingue sur moi, juste au cas où. Dans la cité où je ‘‘vivais’’, rare étaient ceux qui vous faisaient des cadeaux. Je ne voulais pas aller en taule, je devais m’occuper de ma famille. C’est pourquoi je sortis mon flingue et tirai sur le flic. Et je le touchai, en même temps qu’une terrible balle en plein dans la poitrine me clouait au sol dans une atroce douleur.

On dit que l’instant de sa mort, toute notre vie défile devant nos yeux. Je ne vis pas ma vie, mais ma très chère femme que j’allais laisser seule, mon Maxime qui ne saura jamais que je lui avais acheté le robot qu’il attendait depuis tant de temps, et Mathilde et Sarah qui allait devoir finir leur vie sans leur vieux père… Il se mit tout à coup à neiger. Je pensais au bonhomme de neige que j’aurais pu faire avec eux si seulement j’avais pris ma retraite quelques jours plus tôt. Je leur avais dit que je reviendrais, mais je n’allais pas revenir.

Jamais je n’avais envisagé la mort sous cet aspect. J’étais étendu sur le sol froid et rigide, sachant quel était mon proche avenir, et je pensais à ma famille. La femme que j’aimais le plus au monde, mon Mathéo qui ne saura jamais que je lui avais acheté le robot qu’il avait tant désiré, et mes deux filles, Rachida et Farida, qui allaient devoir faire leur vie seule sans protection paternelle dans la jungle de la cité. Avant de fermer les yeux, je sentis plus que je ne vis, quelques flocons de neige qui tombaient en silence, avant de fondre complètement pour se transformer en eau. Les gosses devaient être contents à l’heure qu’il était. Je leur avais dit que je reviendrais, mais ce n’était pas vrai.
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MessageSujet: Re: Je leur avais dit que je reviendrai   Je leur avais dit que je reviendrai Icon_minitimeMar 12 Déc - 1:41

J'ai pas encore fini (oui mais yé tard pis j'étais juste passé voir ce qui s'été posté) mais jusque là c'est super bien écrit, félicitations Mrs Lebeau cheers

Pis aussi : REeeeuuu le Bamphhhhhh!!! ^^
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MessageSujet: Re: Je leur avais dit que je reviendrai   Je leur avais dit que je reviendrai Icon_minitimeMer 16 Mai - 21:36

Je l'ai fait

A tous les esprits mal placés qui se demanderont ce que j'ai bien pu faire ... bin j'ai tourné mon fiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiilm !!!!!!

J'ai fait le scénar, j'ai trouvé mes acteurs (avec taaaant de difficultés mes amis), j'ai décidé des dates de tournages, j'ai dû sans cesse repousser, trouver un moment où ils étaient tous dispos, j'ai.... ramé.

Mais j'm'en suis sortie !!!!!!!

Le résultat ? C'est mon premier film, soyons indulgent. Mais ça va.

Le lien dès que je l'aurais !
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Mrs LeBeau
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MessageSujet: Re: Je leur avais dit que je reviendrai   Je leur avais dit que je reviendrai Icon_minitimeLun 4 Juin - 11:50

Mon premier message en tant que tyra.. euh administratrice / modératrice (j'vais vous moderer moi z'allez voir rambo )

D'ailleurs merci à Tay lol

Bref voici deux affiches de mon film (eh oui, tant qu'à se la péter, au moins faire ça complètement)


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MessageSujet: Re: Je leur avais dit que je reviendrai   Je leur avais dit que je reviendrai Icon_minitime

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